Douce nuit …
Aujourd’hui, je commence par une citation de ma chère amie Frédérique qui risque d’en décourager plus d’une. Mais tant pis il faut bien que vous soyez au courant : « les nuits ce n’est jamais acquis. ». Eh bien, c’est vrai ! Le seul problème (mis à part le fait que vous n’avez plus besoin d’eye-liner pour noircir le contour de vos yeux !) c’est que généralement on s’en rend compte sur le tas et que personne ne nous prévient !!!!!
Notre cher ange faisait ses nuits à deux mois. Et j’avoue, j’étais super fière !!!! Peut être un peu trop…
Mais depuis une semaine, la phrase de mon amie ne cesse de résonner à mes oreilles en même temps que les hurlements nocturnes de mon petit bonhomme.
Il ne s’agit pas de petits réveils doux et légèrement sonores deux fois par nuit. Oh que non ! Il s’agit plutôt de cris stridents toutes les heures…que seuls mes bras et mes chansons (et pourquoi pas ceux du papa qui a pourtant essayé, je vous le demande !?) arrivent à calmer au bout de 30 minutes. Vous me direz : de quoi je me plains ? Comme ça au moins je fais les 30 minutes de marche intensives quotidiennes recommandées par le ministère de la santé. Je dirais même qu’à ce rythme là je vais bientôt atteindre mon quota pour les quelques mois à venir !!!!
Étant donc en grande forme physique (grâce à la marche, cela va de soi) j’ai remonté mes manches et suis partie à la pêche aux solutions. En fait, ça n’a l’air de n’inquiéter personne qu’un petit garçon de 6 mois et demi hurle toutes les nuits. Et apparemment, je suis loin d’être la seule maman dans ce cas. C’est déjà rassurant. On m’a donc proposé au choix plusieurs causes: les dents, les maux de ventre, les angoisses nocturnes, le pic de croissance des 6 mois.
Le problème c’est que pour toutes ces causes, on ne m’a proposé qu’une seule solution : me lever pour le câliner sans jamais le prendre dans mes bras ou dans mon lit ni allumer la lumière, ça lui donnerait de mauvaises habitudes (tu parles que c’est facile de câliner un enfant le dos cassé en deux et dans le noir en plus !) et d’attendre que cela fasse de l’effet.
J’attends toujours les effets de cette méthode et c’est promis je vous tiens au courant !